Ernst Zündel - Activiste germano-canadien des droits de
l'homme
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Communiqué 9 juin 1996
Ernst Zündel va régler des comptes avec le SCRS et le CSARS à la Cour fédérale du Canada lundi 10 juin 1996 à 10 h , dans la salle d'audience Ouest de l'immeuble de la Cour suprême du Canada, rue Wellington à Ottawa.
Zündel va soutenir que l'Établissement du Renseignement a créé une menace de droite inexistante en une manoeuvre préventive pour détruire les critiques et l'opposition, émanant de la droite nationaliste canadienne, envers des politiques gouvernementales mal conçues en <<criminalisant>> la droite et la marginalisant du coup, au moyen des activités illégales de son agent provocateur, Grant Bristow.
Zündel convoque une conférence de presse à 9 h 30 sur les marches de la Cour suprême pour discuter de sa demande de naturalisation en panne.
Zündel affirme et documente un parti pris massif de la part du SCRS et du CSARS dans un document de 321 pages, <<Appréhension de parti pris>>, déposé à la Cour fédérale le 4 mars 1996. Il allègue du parti pris à motif politique de la part du SCRS, office civil canadien d'espionnage, et du CSARS, le Comité de surveillance des activités de renseignements de sécurité, qui est censé enquêter sur la conduite du SCRS pour assurer que l'office d'espionnage ne s'immisce pas dans les secteurs constitutionnellement protégés et garantis du plaidoyer politique.
Zündel arc-boute cette assertion d'<<Appréhension de parti pris>> avec un autre document, de 91 pages, qui contient, entre autres choses, huit déclarations faites sous serment par devant notaire par des gens intimement au fait des événements et personnalités de l'affaire Grant Bristow - trompeusement étiquetée l'affaire du <<Heritage Front>>.
Bien de ces témoins oculaires et auriculaires ainsi que participants aux événements <<documentés>> dans le Rapport sur l'affaire <<Heritage Front>> contredisent les déclarations et les activités alléguées de Bristow et du SCRS telles que décrites. Ce Rapport sur l'affaire <<Heritage Front>> , émotif et hautement politisé, livré par le CSARS au parlement et au public le 9 décembre 1994, a déjà été décrit par des députés méfiants et d'alertes pontifes des media comme un <<passage de l'éponge gouvernemental>>. Zündel va révéler d'autres données choquantes en plein tribunal lundi.
Zündel affirme que le CSARS couche avec le SCRS et s'est mis lui-même au pied du mur par son propre rapport passage de l'éponge, décousu, idéologiquement contaminé et à sa propre dévotion, un document de style marxiste qu'utilise maintenant le gouvernement du Canada pour lui dénier ses droits constitutionnellement protégés de liberté d'expression, d'association et le plaidoyer pacifique de ses vues.
Zündel affirme qu'un puissant lobby niché dans les oreilles de l'Établissement politique le traite en bouc émissaire et fait rejeter sommairement sa demande. Il affirme que le but de ce lobby holocaustique est d'abord de lfaire de lui un <<criminel>> par le processus actuellement en cours et puis de le déporter àa cause de son assertion que l'Holocauste est une combine d'extorsion.
Las bureaucratie du Renseignement doit servir à le réduire au silence, et à accomplir ce que le système judiciaire régulier, légal du Canada a jusqu'à présent refusé de faire.
Zündel presse les media, le public et l'élite politique du Canada de jeter un autre regard, plus critique, sur tout l'appareil du renseignement et ses <<apparatchniki>> à la KGB, y compris le <<chien de garde>> , le CSARS à la composition désignée par politiciens.
Sa documentation peut s'examiner à l'adresse Internet Zündel, http://www.webcom.com/ezundel/english/ où il a affiché le rapport du CSARS, les déclarations sous serment le réfutant et de la documentation supplémentaire.
Zündel demande que la Cour fédérale ordonne l'arrêt des procédures ubuesques du CSARS contre lui et la création d'une commission royale pour enquêter sur la bureaucratie du renseignement qui semble avoir pris le mors aux dents et menace de saper l'ordre constitutionnel et les traditions démocratiques du Canada, avant que le Canada ne devienne une dictature façon tiers monde, manipulée, intimidée et terrorisée par des barbouzes à gages et des agents provocateurs aux ordres du gouvernement, devenus fous furieux avec le concours de l'argent des contribuables.